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Bonjour tout le monde, j'espère que vous allez bien et que vous avez passé une bonne semaine. Aujourd'hui, j'ai envie de vous présenter un format un peu différent des précédents. Pour ceux qui ne le savent pas, j'adore la gastronomie, j'adore la cuisine et j'adore lire des articles sur l'univers, sur le monde de la nourriture. Toutes les semaines, je fais une veille sur ce qu'il se passe dans l'univers de la nourriture. Et pour ce podcast, je voulais partager avec vous les différents articles que j'ai trouvés intéressants et vous faire un petit résumé de chaque article. Pour ceux que ça intéresse, je vais vous mettre le lien de chaque article que j'aborde dans la description. Et sinon, installez-vous confortablement, mettez vos écouteurs et on est parti pour parler gastronomie. Le premier article qui m'intéresse et que je voulais vous partager est un article qui a été publié dans le magazine Challenge. Le titre, c'est Paul, Marie Blachère, The French Bastards, Les boulangeries font saliver les investisseurs. En France, les chaînes de boulangerie, qu'elles soient populaires ou haut de C'est-à-dire que les programmes connaissent un engouement sans précédent de la part des investisseurs. Ces derniers, attirés par un marché en pleine effervescence et par des perspectives prometteuses, commencent à injecter des capitaux de plus en plus significatifs pour soutenir et développer ces entreprises traditionnelles.
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Avec environ 33 000 boulangeries en France, Le secteur continue de prospérer. Un exemple récent de cet intérêt croissant est le dernier investissement du fonds Experience Capital, qui a investi dans la chaîne de boulangerie The French Bastards, une chaîne de boulangerie chic à Paris. Le fonds ambitionne de faire passer cette enseigne de 6 à 40 magasins en 5 ans. Bernard Blacher, fondateur de Marie Blacher, domine le marché des boulangeries avec 794 magasins, générant près d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires annuel. Marie Blacher, l'enseigne de Bernard Blacher, s'est démarquée par son concept innovant de boulangerie de rond-point et ses stratégies commerciales agressives, comme la baguette gratuite pour trois baguettes achetées et des réductions sur les invendus après 19h00. Et Marie Blacher, leader du marché, attise les les convoitise. Des rumeurs de rapprochement avec le groupe Invivo circulent, bien que démenties par le directeur général d'Invivo. D'autres acteurs cherchent également à se positionner sur ce marché en pleine recomposition. Par exemple, Francis Holder, le fondateur de Paul, cherche un actionnaire minoritaire pour préparer la succession de son groupe qui compte environ 800 points de vente. Un autre exemple de cet appétit pour les boulangeries est celui du Fonds d'investissement French Food Capital, qui a récemment annoncé son intérêt pour Sophie Le Bruy, espérant développer son modèle inspiré de Marie Blachère à 500 magasins dans les cinq ans.
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Avec des magasins franchisés, générant des chiffres d'affaires dépassant le million d'euros annuels et un taux de rentabilité de 20%, cette enseigne illustre bien l'attractivité du secteur. L'autre article qui me paraissait intéressant est un article qui a été publié dans Les Échos. Le titre est le suivant: Coupe fin, Nestlé prend le taureau par les cornes avec une gamme spécialisée obésité. Passe à la montée des médicaments anti-obésité aux États-Unis, Nestlé a décidé de réagir en lançant une nouvelle gamme de produits surgelés, spécialement conçus pour les utilisateurs de ces coups-feins. On parle bien évidemment des médicaments comme l'Ozempique, le Wegovi, le Zepbound et le Mounjarro. Ce sont des médicaments basés sur des molécules GLP-1 qui imite une hormone humaine pour induire un sentiment de satiété, modifiant ainsi les habitudes alimentaires et aidant à une perte de poids significative. D'ici la fin de l'année, Nestlé introduira la marque Vital Pursuites aux États-Unis, avec 12 références de produits, telles que des bols de légumineuses, des pâtes protéinées, des panini et des pizzas. Ces produits sont enrichis en protéines, en fibres, en fer, en calcium et en vitamine A. Sont sans gluten. Vendus à moins de 5 $ l'unité, ils visent à combler les carences nutritives des utilisateurs de coupe-faim et à s'adapter à leur appétit réduit.
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Tout en préservant leur masse musculaire. Cette décision de Nestlé s'inscrit dans une stratégie visant à capter une nouvelle catégorie de consommateurs. Ces nouveaux consommateurs sont les utilisateurs de médicaments anti-obésité aux États-Unis. Et le nombre de ces utilisateurs pourrait atteindre 30 millions de personnes d'ici 2030, soit environ 9% de la population. D'ailleurs, j'aimerais beaucoup avoir votre avis sur ce type de... D'ailleurs, j'aimerais beaucoup avoir votre avis sur ce type de médicament. Est-ce que vous pensez que ces médicaments sont utiles pour perdre du poids ? Ou est-ce que ces médicaments représentent un danger pour la santé des citoyens américains ? Enfin, le dernier article que je voulais vous présenter est un article du Temps qui parle du chocolat sans cacao. Face aux défis éthiques et environnementaux de la production de cacao, pas mal de start-up food tech développent des alternatives au chocolat traditionnel. Parmi elles, Winwin, une jeune pousse londonienne fondée il y a trois ans. Elle se distingue en proposant des les substitue au chocolat sans utiliser de cacao. La startup souhaite créer des produits savoureux, de bons produits, tout en respectant des critères de durabilité et d'éthique. Pour ce faire, winwin utilise des ingrédients abondants et à faibles empreintes carbone comme l'orge britannique et la caroube d'Europe du Sud.
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Ces ingrédients permettent de reproduire le goût, la texture et l'odeur du chocolat traditionnel. La startup propose trois types de chocolat sans cacao cacao, le chocolat au lait, au lait végétal et noir. La production de cacao, concentrée en grande partie au Ghana et en Côte d'Ivoire, est marquée par des pratiques non durables, notamment la déforestation et le travail des enfants. De plus, les prix du cacao ont presque quadruplé en un an, en raison des mauvaises récoltes dues au phénomène météorologique El Nino. D'ailleurs, j'en avais parlé dans un autre podcast, donc pour ceux que ça intéresse, je vous invite à aller écouter le podcast en question. Dans ce contexte, les alternatives au chocolat à base de cacao, gagne en pertinence. Des startups comme Planet A Foods, en Allemagne, et Voyage Foods, aux États-Unis, explorent également ce marché. Bien que ces alternatives doivent encore surmonter plusieurs défis pour s'imposer. D'abord, le coût de développement est élevé et le succès commercial n'est pas garanti. Personnellement, je pense que l'adoption à grande échelle de ces alternatives au cacao sera lente, un peu comme l'adoption pour les substituts à la viande et aux produits laitiers. Pour que ces alternatives aient un impact significatif, elles doivent être produites en grande quantité et distribuées largement.
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Et pour l'instant, ce n'est pas trop le cas. Voilà, C'est déjà la fin de cet épisode. Si jamais le format vous plaît, n'hésitez pas à me le dire dans les commentaires ou par mail. C'est très important. Comme d'habitude, si vous avez aimé, n'hésitez pas à me mettre 5 étoiles sur Apple Podcast, à me mettre un like sur Spotify. N'hésitez pas aussi à partager l'épisode avec vos élèves, si vous êtes enseignant, vos amis, vos proches, votre famille, toute personne qui pourrait être intéressée. Donc, si je résume, partagez, likez, commentez, amusez-vous, continuez à apprendre le français. Je vous souhaite une très bonne semaine. On se dit à la semaine prochaine. C'était Carlito. Bye bye, ciao.
